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Une personne essayant d'abandonner le navire en perdition est Barack Obama qui semble être derrière les fuites d'un passeport montrant qu'il est né au Kenya et non à Hawaï. Nos propres sources disent que son père était le communiste américain Frank Marshall, mais en tout cas, il semble qu'Obama espère admettre qu'il est né au Kenya afin d'y chercher un refuge politique.
La piste mène bien sûr à l'un des principaux gestionnaires de Biden, Alexander Soros qui est sorti du placard et ne se cache plus derrière l'infographie de son père George Soros.
Soros est en tout cas une façade pour Klaus Schwab Rothschild qui tente toujours de s'accrocher au pouvoir en engageant des centaines de milliers de «guerriers de l'information» pour contrôler Internet, en surveillant les médias sociaux et les forums pour la «désinformation» et les contenus complotistes qui seront ensuite systématiquement fermé.
Bientôt, il manquera d'argent pour payer cela parce que les barons de la drogue sud-américains ont rompu leurs liens avec l'opération de blanchiment d'argent KM en Ukraine et ont une fois de plus déplacé leur QG de blanchiment d'argent de la drogue à Cuba, comme le laisse entendre cet article :
Nous apprenons de sources sud-américaines que l'argent jouera un rôle majeur dans l'intégration de l'argent de la drogue dans le système financier mondial.
Dans un autre signe que le blanchiment d'argent en Ukraine est en train d'être arrêté, le journaliste Seymour Hersh rapporte que le président ukrainien Vladimir Zelensky et ses hauts fonctionnaires écrément l'argent des contribuables américains par centaines de millions. Les communiqués de Hersh précèdent généralement les mesures d'application de la loi White Hat.
Alors que le KM perd ses opérations de blanchiment d'argent en Ukraine et en Amérique du Sud, les chapeaux blancs divulguent également des informations sur la façon dont ce régime espionne et abuse d'autres alliés restants. L'histoire officielle est que toutes ces fuites largement rapportées proviennent d'une jeune recrue. Cependant, comme le dit une source du Service canadien du renseignement de sécurité : « Selon mon opinion professionnelle, il y a exactement 0 % de chances qu'un garde national de l'air de 21 ans ait mis la main sur des plans de guerre top secrets concernant une guerre que nous ne sommes pas censés mener. être dedans, du moins pas tout seul ».
Dans tous les cas, ces fuites ont irrité les alliés restants du KM en Asie de l'Est comme la Corée du Sud.
Le leader du Parti démocrate de Corée, Park Hong-Keun, a condamné les États-Unis pour "mises sur écoute illégales" des dirigeants sud-coréens, affirmant que "c'est une pratique inacceptable qui ne peut être tolérée dans l'alliance de 70 ans et une violation manifeste de la souveraineté de la Corée du Sud qui brise les relations bilatérales". confiance…"
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